Lors du décès, le premier  "corps" à mourir est  bien sûr le corps physique. Habituellement, dans les trois jours qui suivent, c'est le corps éthérique (appelé également corps énergétique) qui disparaît. Cela permet à "l'âme" de de poursuivre son travail de désincarnation et de continuer son chemin.

Il  y a parfois des personnes pour qui ce processus ne se déroule pas normalement. Par exemple, parce qu'elles n'ont pas pris conscience de leur mort (inconscience, mort subite, athéisme bien ancré), ou bien parce qu’elles ne veulent pas partir (culpabilité), ou bien encore parce que leurs proches n’acceptent pas leur disparition et les retiennent. Ces "âmes" peuvent alors se réfugier sur une personne proche (affectivement ou vibratoirement), voire dans un objet ou dans un lieu, soit aimé (maison, jardin etc. ), soit lié à leur mort physique (bord de route, hôpital etc.)

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Certaines personnes sont particulièrement sujettes à "ramasser" les "âmes perdues" qui s'accrochent alors  à elles et les "parasitent" involontairement.

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Cela produit des souffrances, à la fois pour la personne décédée,  bloquée dans son évolution mais également pour la personne "parasitée" qui vit "les états d'âmes" de la personne disparue: grande fatigue, tristesse, pensées dépressives ou  suicidaires .

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Le "passeur d'âmes" intervient  pour permettre à " l'âme bloquée" de continuer son chemin et pour permettre à la personne "parasitée" de retrouver son intégrité et son état normal.